Garder ce troupiau pendant trois jours sur Fontenoy..Les sortir tous les matins au lever du soleil. Les laisser paître tranquille. Prendre soin d'Ella qui couve. Intégrer la boite de Martine. Les rassurer. Les caliner. Et surtout raconter leurs histoires aux visiteurs. Heureusement , des bergères et un berger se sont présentés pour nous aider.
Merci à Caroline, qui a assureé seule l'installation de la salle, les affichages.
Merci à Marie Odile pour ton écoute,ton intérêt.
Merci à Françoise, au grand cœur.
, Merci à Rosie pour son café et tes gâteaux délicieux.
Merci à Sieur Serge pour tes anecdotes et ton super article sur Vosges Matin bientôt.
Merci à Beatrice, passionnée de broderie qui continue à transmettre.
Merci à Dame Claire pour sa confiance et son sens du partage, pour que vive la broderie d'hier encore plus fort aujourd'hui au Musée.
Y'a de belles personnes. Y'a de belles rencontres sur ces vagabondages. Toujours le fil qui nous lie dorénavant.. Et c'est pas finit
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Serge devant Antoinette, boite à ouvrage transformée de manière éphémère en table de salon de café. C'est la merveilleuse faute à Rosie. Si accueillante. Entourés de 52 boites à ouvrages, dans un lieu improbable comme la salle de la mairie de Fontenoy. Conscience de vivre un moment hors du temps autour d'un café offert en partage. Un temps , qui risque de ne jamais,jamais se reproduire. De l'importance d'apprécier l'instant présent. |
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Béatrice détient les clés du royaume de la broderie de Fontenoy le Château. Réputée mondialement. C'est encore une jeunette, mais si vous voulez recevoir le saint graal de la transmission. .. contactez là au musée de la broderie. |
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Merci Rosie. J'aime les femmes qui savent apporter le café, les petits gâteaux, les jus de fruit. Le sucre, les cuillères, et les mouchoirs. J'aime ces femmes qui offrent., sans bruit Merci Rosie. |
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Merci Françoise. On aime les femmes en action. Celles qui relient, qui plantent, qui veulent que bougent la solidarité, juste à coté de chez elle et dans le monde entier.. Merci d'avoir surveillé notre troupeau samedi. Et d'avoir apporté à Ella la paille qui lui offre un nid pour couver tranquille; |